L’été des bergers de l’Izoard
Lou quiéu dóu pastre sènt toujour la ferigoulo*, écrivait Max-Philippe Delavouët. Point de thym ici mais un couple de bergers qui gardent en estive dans le Queyras des brebis en provenance de la plaine.
Les échanges culturels et économiques entre la basse et la haute Provence n’ont jamais cessé d’exister.
Des rives de la Méditerranée aux plus hauts cols des confins du Dauphiné, nous sommes un seul et même pays.
*Le cul du berger sent toujours le thym.
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